Patricia de Gorostarzu
On Day 1 at SIHH we visited Cartier and had a chance to get some quick and replica cartier watches dirty live shots of the new models, including the www.attrinity.com Astrocalendaire, the Earth and Moon tourbillon, the Night & Day, and the new Calibre de Cartier Diver. This post also includes links to WatchTime��s earlier posts on these models, which include images provided by Cartier. The new release that is generating the most buzz is the Rotonde de Cartier Astrocalendaire perpetual calendar tourbillon. The calendar information is arranged in three concentric circles, each on its own level. The day is indicated on the replica cartier Ballon Bleu innermost circle, followed by the month on the center and the date on the outer circle. Small windows move around these displays to indicate the current month, day and date, The tourbillon resides at the center of these displays. A hand on the replica cartier santos back of the watch indicates the leap year. The movement replaces the springs and levers typically found in perpetual calendar movements with gears, eliminating the risk of breakage and allowing setting of all displays by the crown. You can read more and see complete specs here . The Astrocalendaire will be produced in a limited edition of 100 pieces in platinum priced at 150,000 euros. The Rotonde de Cartier Earth and Moon features what Cartier calls a ��secret�� moon display. The round tourbillon at 6 o��clock represents the disk of the moon. With the push of a button, a blue disk covers as much of the tourbillon as needed to represent the current moon phase. The display at 12 o��clock indicates two time zones. See more images and specifications here. See our original write-up of this piece on the page linked above. The Earth and Moon will be produced in a limited edition of 50 pieces in platinum with a lapis dial priced at 200,000 euros.

Marseille – 2008

Patricia de Gorostarzu continue son exploration urbaine en noir et blanc. Après New York – objet d’un livre publié chez Pyramyd – elle pose son regard et son objectif sur Marseille. 
Ville cosmopolite aux multiples visages, Marseille ne se dévoile pas facilement, il n’est pas simple d’en découvrir toute la poésie et la magie qui s’y dégage. Pour Patricia, le parallèle entre New York et Marseille est d’une évidence frappante. Les similitudes entre ses deux villes l’ont tellement fasciné qu’elle a décidé d’y poser ses valises. 

Patricia de Gorostrazu évite les clichés et les écueils de la caricature et pose un regard empreint de tendresse et de profondeur sur la cité Phocééenne. Elle a su apprivoiser tous les paradoxes qui composent Marseille et nous transmettre, à travers ses photographies, la magie de cette ville.

Préface de Karine Zibaut

Cité d’Ombres et de Lumières 

Marseille. Marseille est un nom qui résonne immédiatement, chargé d’idées reçues et d’images références. Qui n’a pas en lui une projection de Marseille ? Forte personnalité, la cité phocéenne est un mythe. Mais qui la pense belle a priori ?  

Belle et non séduisante, Marseille fait naître un chant d’amour éternel chez ceux qui s’y sont posés. Un amour si souvent incompris. Belle Marseille ? Elle est tellement plus que ça… 

J’ai compris à quel point j’étais de Marseille le jour où j’en suis partie. J’emporte partout avec moi ses couleurs, ses rivages, ses excès, ses rires, ses lumières… Mais rares sont les Marseillais qui la quittent vraiment. Dans cette ville qui est un pays à elle toute seule, on a le sentiment d’avoir le monde sur un plateau et qu’ailleurs c’est encore ici. Futurs visiteurs, je vous annonce tout de suite la couleur : ailleurs, c’est forcément moins bien qu’ici ! 

Marseille se mérite. Voilà le secret de ces images fortes et troublantes. Marseille s’est donnée à Patricia car elle a senti la générosité du regard posé sur elle. Ce livre respire à chaque image la profondeur d’une rencontre entre une artiste unique et une ville exceptionnelle. 

Marseille et Patricia de Gorostarzu devaient se rencontrer. Elles se sont données l’une à l’autre, complices, espiègles, tendres. Ces images émouvantes sont une évidence.

Marseille la solaire, la multicolore résonnant d’accents épicés, a été conquise par les jeux d’ombres et de lumières de Patricia. Et là, miracle ! Le noir et blanc la révèle enfin telle qu’elle est dans le cœur des siens. 

Marseille la Phocéenne est blanche comme le soleil aveuglant, comme la pierre en plein midi, comme la ferveur de Notre Dame, comme les anges qui traînent dans ses rues. Marseille l’insoumise est noire, sombre comme ses histoires dignes des plus fantastiques polars, comme les ragots que l’on comporte à son sujet, comme l’ombre si douce en été, comme la nuit qui la sublime et préserve ses plus beaux secrets. 

En noir et blanc, Marseille est bien plus que belle…

Merci Patricia de m’offrir cette préface. Elle me permet d’écrire ma tendresse pour Marseille. Elle m’offre le bonheur de dire toute mon admiration à une artiste d’exception, de te dire à quel point j’aime la précieuse amie et la femme magnifique que tu es. 

Je regarde émue et fière ce livre qui rend hommage à la ville de mon enfance avec une si belle sincérité. 

Marseille a été un merveilleux écrin pour qu’une fois encore tu m’emportes à tes côtés.

Édité par Édition Pyramyd ntcv

Format 21 cm x 21 cm – 160 pages – Parution 2008

Prix Public 29 Euros – (Épuisé)

  • Share

Comments are closed.