Patricia de Gorostarzu
On Day 1 at SIHH we visited Cartier and had a chance to get some quick and replica cartier watches dirty live shots of the new models, including the www.attrinity.com Astrocalendaire, the Earth and Moon tourbillon, the Night & Day, and the new Calibre de Cartier Diver. This post also includes links to WatchTime��s earlier posts on these models, which include images provided by Cartier. The new release that is generating the most buzz is the Rotonde de Cartier Astrocalendaire perpetual calendar tourbillon. The calendar information is arranged in three concentric circles, each on its own level. The day is indicated on the replica cartier Ballon Bleu innermost circle, followed by the month on the center and the date on the outer circle. Small windows move around these displays to indicate the current month, day and date, The tourbillon resides at the center of these displays. A hand on the replica cartier santos back of the watch indicates the leap year. The movement replaces the springs and levers typically found in perpetual calendar movements with gears, eliminating the risk of breakage and allowing setting of all displays by the crown. You can read more and see complete specs here . The Astrocalendaire will be produced in a limited edition of 100 pieces in platinum priced at 150,000 euros. The Rotonde de Cartier Earth and Moon features what Cartier calls a ��secret�� moon display. The round tourbillon at 6 o��clock represents the disk of the moon. With the push of a button, a blue disk covers as much of the tourbillon as needed to represent the current moon phase. The display at 12 o��clock indicates two time zones. See more images and specifications here. See our original write-up of this piece on the page linked above. The Earth and Moon will be produced in a limited edition of 50 pieces in platinum with a lapis dial priced at 200,000 euros.

Vintage America – 2010

De 2008 à 2010, Patricia de Gorostarzu a sillonné les routes d’une vingtaine d’États, sur plus de 20 000km, à la recherche des derniers vestiges du « Rêve Américain ». Cette Amérique des années 1950 à 1970 qui la faisait rêver dans sa jeunesse et qui la fait encore rêver. Munie de sa chambre photographique qui date de cette époque et de ses tous derniers films Polaroid, car eux aussi ont fini par disparaître devant l’avénement du numérique, elle a photographié, au hasard de mes rencontres, les traces de ce temps qui s’effacent…

Elle nous rapporte de ses balades sur des routes qui n’en finissent jamais, un témoignage émouvant d’une Amérique où le temps semble s’être arrêté sur une époque légendaire. Derrière chaque image, on entend encore le « son vinyle » d’un air de rock’n’roll sortir d’un juke-box, des bribes d’un discours enflammé de Martin Luther King à la télévision, le ronronnement des 8 cylindres d’une voiture rutilante qui transporte une jeunesse belle et insouciante…

« Vintage America » est un reflet sans paillettes, un témoignage étonnant de ce qu’il reste des vestiges du rêve Americain.

Préface de Kyle Eastwood

J’ai grandi sur la côte, dans le centre de la Californie, la région d’écrivains tels que John Steinbeck et Robert Louis Stevenson.Adolescent, j’ai lu leurs livres qui, à leur tour, m’ont mené vers des auteurs de la Beat Generation, Jack Kerouac, Allen Ginsberg et William Burroughs, et leurs voyages à la découverte des États-Unis. Intrigués par leur expérience de la « route », des amis et moi avons décidé d’explorer par nous mêmes ce vaste pays. Pendant plusieurs années consécutives, nous avons ainsi sillonné l’Idaho, le Colorado et le Wyoming. Traversé les déserts du Nevada, de l’Arizona et du Nouveau-Mexique. À plusieurs reprises, nous avons même poussé jusqu’à Chicago et New York.
Au cours de ces voyages, je me souviens d’avoir contemplé le crépuscule sur les grandes plaines, admiré de glorieux levers de soleil dans le désert et traversé de toutes petites villes qui paraissaient au bord de l’extinction.
C’est l’esprit de cette Amérique-là qu’a saisi Patricia de Gorostarzu dans ses splendides photographies en noir et blanc.
Ses clichés ont un caractère spontané, comme s’ils avaient été pris depuis une voiture en mouvement et, en même temps, ils sont méticuleusement cadrés.
Étant moi-même un musicien de Jazz et un grand amateur de la musique et de la culture Américaine des années 50 et 60. Nombre des photos de ce livre m’ont rendu nostalgique de cette grande époque aujourd’hui disparue.
Le travail de Patricia de Gorostarzu rend un brillant hommage à cette Amérique, et ses photos son assurément parmi mes préférées.
Kyle Eastwood

Pour accompagner son travail photographique, Patricia de Gorostarzu a choisi les nouvelles de cinq jeunes auteurs américains, qui entrent en résonance particulière avec ses tirages. Scott Wolven, Dan Chaon, Brady Udall, Benjamin Percy, et Richard Lange. La littérature et la photographie réunies donnent une dimension particulière à cette Amérique que Patricia de Gorostarzu saisit à merveille.

Édité par Édition Albin Michel

Format 22 cm x 28 cm – 192 pages – Parution 2010

Prix Public 29 Euros

Chez Albin Michel

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